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Fil d'Arianne

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Saison / Mini-concert
Dimanche 27 juin 2021 - 17H
Conservatoire & Orchestre de Caen

La Jeune Fille sans mains

Opéra de poche "La Jeune Fille sans mains"

Œuvre de David Walter sur un conte des Frères Grimm

Jeune fille sans mains

Tarifs

3€

Informations

Ce mini-concert sera également donné le samedi 3 juillet, à 17h, au Théâtre du Champ-Exquis à Blainville sur Orne.

Mini-concert

Saison / Mini-concert

Dimanche 27 juin 2021 - 17H
Conservatoire & Orchestre de Caen

La Jeune Fille sans mains

Opéra de poche "La Jeune Fille sans mains"
Œuvre de David Walter sur un conte des Frères Grimm

Distribution

  • , récitante

    Virginie Lacroix

    récitante

    Elle débute avec Julien Bertheau et Jean-Laurent Cochet, prépare l’ENS Lettres, et fonde sa compagnie Le Carrousel à Paris. Dans le théâtre public, elle joue avec Alain Béhar : Goldoni, Schnitzler, Brecht, Molière, Marivaux, Horvath, lui-même, Claudel/J. Négroni, Shakespeare/A. Caubet. Puis elle dirige le lieu L'Usine à Montreuil et crée l'écriture de D-G Gabily avec le groupe T’Chang. En Normandie, elle fonde Hybride avec Gilles Masson, adapte et met en scène les textes de femmes : M. Duras, Béatrix Beck, G. Réal et la poésie sonore de S. Nossam. Elle transmet l'art du théâtre avec passion.

  • , soprano
    Anne Warthmann

    Anne Warthmann

    soprano

    Après des études de piano au CRR de Caen, Anne Warthmann s’intéresse à la technique vocale et au répertoire du chant. Cette découverte la pousse vers des études pianistiques et vocales parallèlement à une solide formation pédagogique et de culture musicale. Titulaire des diplômes d’Etat de chant et de piano, elle se tourne vers la pédagogie et chante dans de nombreuses productions, notamment sous la direction de F.X. Roth ou N. Chalvin, par goût pour le travail scénique et l’opéra. Sa tessiture la mène vers l’opéra romantique, le Lied allemand, la mélodie française et la musique contemporaine.

  • , flûte
    Laëtitia Sarazin

    Laëtitia Sarazin

    flûte

    Médaille d’or du Conservatoire National de Région de Lille, Laëtitia Sarazin commence au sein de l’Orchestre philarmonique de Lille, tout en se produisant pour des concerts de musique de chambre. Membre permanent et professeure au Conservatoire & Orchestre de Caen, elle se produit également dans diverses formations de chambre. Sensible à la musique comme moyen d’échange, de partage et de mieux être, elle est parallèlement musicienne intervenante dans les milieux de la santé et du handicap et intervient dans les écoles de musique de Normandie Cabourg Pays d’Auge dans le cadre des Orchestres à l’école.

  • , violoncelle
    Stéphane André

    Stéphane André

    violoncelle

    Originaire du Nord, il débute le violoncelle au conservatoire de Roubaix. Après le baccalauréat, il décide de se consacrer pleinement à la musique et poursuit ses études de violoncelle en région parisienne auprès de Xavier Gagnepain puis Florian Lauridon. Il intègre ensuite le CNSM de Lyon dans la classe d’Anne Gastinel et dans la classe de musique de chambre de Franck Krawczyk. Il en sort en 2005 avec le diplôme Mention Très Bien. 

    Ses activités de musicien-interprète l'ont amené à se produire au sein de l'Orchestre National de Lille, de l'Orchestre de Douai (59) (violoncelle solo), l'Orchestre Régional de Normandie, ainsi qu'en musique de chambre à divers festivals : Festival de musique de chambre de Croix (59) , " Chambre à Part " (Lille, 59), "les Inouies" (Arras, 62), "Aspects des musiques d'aujourd'hui" (Caen, 14), "Bayeux en Musique" (Bayeux, 14), Festival "Les heures musicales de l'Abbaye de Lessay" (50), Festival de l'Abbaye de la Lucerne (50), "Arts sous les Clochers" (50) puis "La Villa des Compositeurs" (Turin, ITALIE) et le "Bristol New Music Festival" (Bristol, ANGLETERRE)... 

    Titulaire du CA, il enseigne au Conservatoire & Orchestre de Caen et est membre de l’Orchestre de Caen depuis septembre 2009. 

À propos

« Barbichette, barbichette, yeux chassieux » – que veut donc dire cette formule mystérieuse revenant comme une incantation tout au long du conte La jeune fille sans mains ? La narration met en scène un meunier (dont la vision du monde est sans doute déformée par la chassie qui trouble sa vue) et le diable, liés par un pacte dont l’enjeu est la propre fille du meunier. Celle-ci, privée de ses mains, doit affronter bien des épreuves avant d’atteindre au bonheur. D’une intensité rare, ce récit initiatique est servi par un effectif épuré – mais recourant néanmoins à toutes les familles d’instruments : voix, vents (flûte et clarinette), cordes frottées (violoncelle), cordes pincées (harpe) et percussions (avec peaux, claviers et métaux) – dont la merveilleuse musique illustre, accompagne, commente ou intensifie la quête parfois dramatique de la jeune fille au courage infrangible… jusqu’à sa renaissance lumineuse.